Le RC Strasbourg était à deux doigts de réaliser le très gros coup de la 8ème journée de Ligue 1. Alors qu'ils menaient 3 à 1 face au PSG, les hommes de Liam Rosenior ont finalement concédé le match nul. Bien sûr, c'est un bon résultat face à "l'ogre parisien". Néanmoins, le RCSA a pris une bien mauvaise habitude.
Depuis le début de la saison dernière, le club alsacien a déjà laissé filer 27 points après avoir mené au score en Ligue 1. Triste record – personne ne fait pire dans l’élite française. Une donnée révélée par Opta et confirmée après le dernier nul renversant face au PSG. Le Racing séduit, mais craque trop souvent. C’est le paradoxe de cette équipe pleine de talent, mais trop fragile mentalement pour gérer ses temps faibles.
Strasbourg parvient souvent à emballer ses matches et à ouvrir le score, que ce soit contre des « gros » comme Paris ou Marseille, ou face à des adversaires plus abordables. Mais voilà , ce fameux trou d'air vient parfois frustrer Rosenior. Relâchement ? Manque d’expérience ?
Liam Rosenior a reconnu lui même que son équipe a besoin d'apprendre : « On n’a pas eu peur… mais il faut apprendre à tenir, à être plus mature dans la gestion du score ». Strasbourg aligne l'effectif le plus jeune du championnat ; c’est à la fois une force et une faiblesse. L’énergie déborde, mais parfois ça manque de vice, de cette méchanceté qui permet de verrouiller une victoire. Les bases sont saines : le jeu est là, la mentalité suit.
Avec plus d'expérience et de stabilité, cette équipe strasbourgeoise pourrait devenir un prétendant régulier au podium dans les années à venir.
Depuis le début de la saison dernière, le club alsacien a déjà laissé filer 27 points après avoir mené au score en Ligue 1. Triste record – personne ne fait pire dans l’élite française. Une donnée révélée par Opta et confirmée après le dernier nul renversant face au PSG. Le Racing séduit, mais craque trop souvent. C’est le paradoxe de cette équipe pleine de talent, mais trop fragile mentalement pour gérer ses temps faibles.
Strasbourg parvient souvent à emballer ses matches et à ouvrir le score, que ce soit contre des « gros » comme Paris ou Marseille, ou face à des adversaires plus abordables. Mais voilà , ce fameux trou d'air vient parfois frustrer Rosenior. Relâchement ? Manque d’expérience ?
Liam Rosenior a reconnu lui même que son équipe a besoin d'apprendre : « On n’a pas eu peur… mais il faut apprendre à tenir, à être plus mature dans la gestion du score ». Strasbourg aligne l'effectif le plus jeune du championnat ; c’est à la fois une force et une faiblesse. L’énergie déborde, mais parfois ça manque de vice, de cette méchanceté qui permet de verrouiller une victoire. Les bases sont saines : le jeu est là, la mentalité suit.
Avec plus d'expérience et de stabilité, cette équipe strasbourgeoise pourrait devenir un prétendant régulier au podium dans les années à venir.






